Lac du Pavé-Sélé du 6 au 13 juillet 2013

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6 juillet, départ de Louailles direction Le Casset. Nous aurons le plaisir d'éviter les fermetures des routes entre Bourg d'Oisans et l'Alpe d’Huez pour la« Marmotte 2013 », épreuve regroupant plus de 7 000 cyclosportifs partis à l’ascension des cols du Lautaret et Galibier .

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Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

7 juillet, départ à 7h00 du Casset, destination le refuge du Lac du Pavé (2 841 m). Les sacs sont lourds du matériel et des vivres pour la semaine. Arrivée vers 18h00, après une dénivelée de +1672 et -562 sur 16 km. Nous passons devant l’ancien refuge, emporté par une avalanche, à peine terminé en 1971. Les cabanes du chantier ont été conservées, pour un confort spartiate, et des locaux pour le moins aérés. Nous y serons accueillis par la charmante Marie qui remplace Norbert po

Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

ur la semaine. Il y a quand même l'eau courante, enfin 10m en contrebas, ce qui ne facilite pas la cuisine, ni l'évacuation des toilettes. À noter la salle de douche, derrière le rocher le long du torrent du clos.

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8 juillet, l'heure du lever est raisonnable, pour une belle

Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

petite course vers la pointe des chamois (3 315 m). Devant la fatigue des troupes et la météo incertaine, la grille d'analyse nous conduit à renoncer à poursuivre pour une seconde ascension, donc retour au refuge pour le repas, puis une sieste qui s'impose après la course de la veille. Des retours d'est nous enverrons effectivement de la pluie en soirée.


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9 juillet, lever à 5h00, direction le Pic Nord des Cavales (3 362 m). Nous optons pour la voie « Gaspard », cotation AD (assez difficile). Julien aura du mal à ferraille

Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

r dans la dalle de la première longueur, mais aura le bonheur de relayer au seul « vieux »piton que nous trouverons sur le parcours. Le sommet sera atteint en suivant le fil très émoussé (plusieurs mètres de large) de l'arête. Nous redescendons par la voie normale, et nous retrouverons seuls au refuge pour la nuit. Elle sera fraiche, 8°C à la montre. Pour une fois, nous aurions apprécié la chaleur de compagnons de chambrée. Heureusement, nous aurons trouvé dans la soupe et la tartiflette de la gardienne, l'énergie pour supporter ces conditions presque hivernales.

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Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

10 juillet, il a plu durant la nuit, et quand nous arrivons à l'aplomb de la voie du dièdre de la Pointe Emma (3 344 m), facette Est, nous remarquons que cette voie en D- est plus qu'humide sur les premières longueurs. Devant ce cheminement guère évident, nous nous rabattons vers la

Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

 

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

 

Renaud

 

voie normale, délitée au début, plus saine ensuite. L'arrivée au sommet alors que le ciel se dégage nous gratifiera d'une vue magnifique sur 360° avec la Meije en point de mire. Redescendant assez tôt, nous pourrons déguster une omelette au refuge, préférant faire fonctionner le commerce local !

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Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

Renaud

11 juillet, devant une météo prévue maussade, nous redescendons en vallée, en espérant que la descente soit moins épuisante que la montée. Retour à la civilisation pour quelques heures dans les prémices de la canicule. L'occasion de se gaver de crudités avant de repartir.

 

12 juillet, montée au refuge du Sélé (2 511 m) en 3h30 pour une dernière course. Malgré l'optimisation matérielle, nous nous rendons compte du poids de la ferraille indispensable à toute course. La montagne qui dégueule de pierraille et de blocs nous contraint à un détour dans la Coste de Sialouze, mais nous nous remettrons avec la tarte à la myrtille du gardien et profiterons d'une visite de chamois à la porte du refuge après le repas.

13 juillet, la course de la semaine, nous partons vers l'arête ENE du Sélé, qui sera longue sur un rocher délité. Olivier nous guide dans cette voie peu courue, mais intéressante en recherche. Nous atteindrons le sommet (3 556 m) en 7h, quasiment tout le temps en corde tendue. Le déjeuner avalé, la descente sera épique. Bien que prévenus de la difficulté pour trouver le parcours, nous aurons l'occasion de perfectionner notre technique en descente sur champignons de neige et rappels délicats sur « bitards » improbables. Heureux de retrouver enfin la neige du glacier, et d’avoir pris une revanche sur cette descente inachevée en 2010, il reste encore à rentrer au bercail. Nous arriverons bien tard avec feu d'artifices pour engouffrer le repas préparé amicalement par le groupe de la deuxième semaine.

14 juillet, Julien et moi rentrons vers la Sarthe, laissant Olivier sans ses bâtons s'occuper du groupe « débutant ». Retour sans encombre hormis un arrêt à Saumur dont je ne vous livrerai pas la clé.

Renaud



07/09/2013
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